Letters

Readers’ Response/Opinion 

To Our Readers   

Your views are of interest to us. They help us balance the argument in the correct perspective. We welcome you to draw our attention to anything or opinion expressed in the Mauritius Times (or any national or international event of interest) with which you agree from your own angle or disagree due to a different appreciation of facts.  

We will gratefully receive your communications at the email address:  

mtimes@intnet.mu   

We may decide to publish your comments or the relevant parts thereof if we consider that they will help our readers better understand specific contexts and maintain MT as the foremost and most balanced analytical newspaper of the country.  * * *  

Ce qui compte vraiment…  

Premièrement

La part du Lion  

Après le traitement que le PTr et le PMSD ont injecté dans les veines du MSM, le patient a retrouvé la grande forme. Les résultats des élections 2010 illustrent la synergie qu’a créée l’Alliance de l’Avenir PTr-PMSD-MSM. Ainsi les candidats du PTr ont connu un taux de réussite de 75% et ceux du MSM un taux de 70%. 

Et dire qu’il y a seulement deux mois de cela le MSM représentait, selon les sondages, 4% d’intention de vote. Heureusement que le Premier ministre a tenu bon et ne s’est pas fié uniquement aux sondages. En s’assurant que le MSM ne soit pas humilié par un nombre dérisoire d’investitures, le Premier ministre a réussi un coup de maître en faisant table rase dans les circonscriptions No 5 à No 13. 

Le Premier ministre a alloué sept ministères au MSM, ce qui représente 28% de son Conseil des ministres. Le MSM obtient le poste de Deputy Speaker et trois Private Parliamentary Secretaries. Sur un total de 12 élus, 10 sont plus que de simples députés, soit 84% des élus MSM ont obtenu des responsabilités accrues. Il ne reste que deux députés MSM qui pourront poser des questions en tant que backbenchers.

Qui se régale de la part du Lion ? 

Deuxièmement 

Ethique et rémunération des nominés politiques

Les nominés politiques ont pour tâche de traduire en actions concrètes la vision et les décisions du gouvernement. Ils viennent d’horizons divers, ils doivent leur nomination à la confiance qui leur est accordée. A eux d’être dignes de cette confiance, d’agir de façon honnête, en gardant en tête qu’ils ne sont pas indispensables. Pour chaque nominé en poste, il y a des centaines de candidats potentiels qui peuvent les remplacer en un battement de cils. Ils sont la vitrine que dresse un gouvernement pour établir un équilibre ethno-castéiste dans le partage des responsabilités à la tête du pays. 

L’opposition utilise les salaires et les traitements princiers que reçoivent les nominés pour embarrasser le gouvernement. En effet, pourquoi doivent-ils être payés comme des oiseaux rares ? Sont-ils en train de faire bon usage de leur salaire et autres avantages ?  

Trop souvent, les nominés politiques ne possèdent pas les compétences techniques nécessaires ; ils dépendent alors des cadres des entreprises ou des organismes de leur nomination. Vu que ces cadres sont hiérarchiquement sous leurs ordres, les nominés politiques pensent qu’ils doivent gagner plus. Ils oublient qu’ils ne sont là que pour garantir le bon fonctionnement de ces institutions et surveiller à ce que la politique du gouvernement soit appliquée. Ils s’inventent alors des compétences qui – en vérité — leur font défaut, et se mettent à croire en des qualités de leader qu’ils ne possèdent pas forcément et finissent par devenir des marionnettes dans les mains des accapareurs. 

Afin d’éviter de tels abus, nous proposons que le total des salaires et autres avantages des nominés politiques soit au maximum égal à deux tiers du package d’un ministre. Il s’agit d’éviter des situations aberrantes où il faut ajouter le salaire du Premier ministre à celui du Leader de l’Opposition et à celui du Président de la République pour arriver à l’équivalent de ce que gagne mensuellement un nominé politique, directeur d’une entreprise où l’Etat possède des actions. Quand notre système tolère ce genre de non-sens, comment ne pas comprendre la réaction de rejet du public ? 

La mise en place d’une grille de salaires s’assurerait que les nominés politiques sont là pour servir le pays en tant que patriotes et non pas pour alimenter les scandales financiers ou autres.  

Troisièmement 

La fin d’une époque: Le Militant 

Il y a des signes qui ne trompent pas. L’arrêt de publication du journal Le Militant (organe de presse du MMM) illustre un renouvellement, un nouveau départ, et peut-être, en même temps, la fin du tandem Bhagwan et Bérenger. Cet organe de presse servait à la propagande de l’idéologie MMM. Cette idéologie n’existant plus, le journal disparaît. Le positionnement sur le Web demandera une rédaction plus éclairée et ne pourra pas seulement se contenter d’insultes et de caricatures indécentes.  

Pourquoi Paul Bérenger ne profite-t-il pas de cette fin du Militant pour passer officiellement le flambeau à l’express et à Week-End… d’autant plus, car  l’impression qui se dégage, c’est que la ligne éditoriale de ces journaux est teintée de mauve ?  

KRJ YASH
ykrj@gmail.com  

* * *  

Open Letter to the Mayor of Vcs-Phoenix 

We have learnt that a ‘Jardin d’enfants’ will be set up alongside the river at the end of Tranquille Road, near the new bridge at Vacoas. We would like to caution against this project as the river overflows and the whole area around the river is flooded during heavy rains and in the wake of cyclones. One can easily imagine what will happen to the garden in these circumstances. Moreover the closeness of the river to the proposed children’s garden poses another risk, as children may be tempted to go and play in the river. This can prove to be very dangerous. 

T.V.
Vacoas 

An Appeal

Dear Reader

65 years ago Mauritius Times was founded with a resolve to fight for justice and fairness and the advancement of the public good. It has never deviated from this principle no matter how daunting the challenges and how costly the price it has had to pay at different times of our history.

With print journalism struggling to keep afloat due to falling advertising revenues and the wide availability of free sources of information, it is crucially important for the Mauritius Times to survive and prosper. We can only continue doing it with the support of our readers.

The best way you can support our efforts is to take a subscription or by making a recurring donation through a Standing Order to our non-profit Foundation.
Thank you.

Add a Comment

Your email address will not be published. Required fields are marked *